La base du coaching est la confiance

« Une approche relativement non directive reste, à ma connaissance, le moyen le plus naturel et le plus efficace de satisfaire aux conditions de base du progrès thérapeutique : authenticité, valorisation, compréhension. » Carl Rogers

Dès le début, le client est averti que le coach ne détient pas les réponses, mais que la relation d’aide ouvre un espace où lui-même peut, avec un soutien, élaborer ses propre solutions aux problèmes qu’il rencontre.

 

Chaque sentiment négatif est à exprimer.

C’est le sentiment, pas le contenu, exprimé qui est pris en considération. Plus profondes et plus violentes sont les expressions négatives (à condition qu’elles soient acceptées et identifiées) et plus inéluctable sera l’expression de sentiments positifs tels que l’amour, la sociabilité, le respect de soi, le désir de se conduire en adulte.

En accueillant aussi bien les pulsions adultes que les pulsions infantiles, les attitudes agressives que les attitudes sociales, les sentiments de culpabilité que les manifestations de sérénité, le coach donne à la personne la possibilité, pour la première fois de sa vie, de se comprendre tel qu’elle est, sans éprouver le besoin de se défendre contre ses sentiments négatifs, et sans avoir l’occasion de surestimer ses sentiments positifs

 

Les déterminants essentiels de l’efficacité de l’aide reçue

Dans la relation, ce sont les attitudes suivantes qui rendent compte de leurs propres changements :

  • la confiance éprouvée
  • le fait d’être compris
  • le sentiment de pouvoir faire des choix et prendre des décisions en toute indépendance.
  • la clarification et la formulation explicite faite par le coach

 

Pour inspirer confiance,

Il n’est pas indispensable de manifester « mécaniquement » une parfaite égalité d’humeur, mais d’être vraiment soi-même.

Le terme « congruence » exprime l’adéquation entre le sentiment que j’éprouve ou l’attitude que j’adopte, et ma perception de ce sentiment ou de cette attitude. Quand cette adéquation existe, je suis en harmonie avec moi-même, et je peux être ce que je suis profondément. Ce comportement, les autres, je le crois, le jugent digne de confiance.

 

Conclusion

« L’authenticité dans la transparence, c’est la sagesse même » Carl Rogers

Martin Buber : « confirmer l’autre signifie… le recevoir dans tout son potentiel… je peux accepter en lui, reconnaitre en lui ; la personne qu’il a été… créé pour devenir… je le confirme en moi, puis en lui, en liaison avec ce potentiel qui peut désormais se développer, évoluer »

Je vous accompagne dans ce chemin de quête de votre congruence.

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